Ici, l'auteur navigue à la voile. Il nous parle de la peur, de l'aube, de la fatigue, du bonheur, du vagabondage, du rêve, de la liberté... La liberté avant tout. La voile, c'est aussi cohabiter sur un petit espace, les ports, les cafés et les pubs et bien sûr les rencontres avec des êtres pittoresques... Une ode à la mer placée sous le signe d'une figure tutélaire, le poète suédois Harry Martinson, Prix Nobel de littérature en 1974, "nomade du monde" pour qui le droit primordial de l'être humain est de voyager.