Revue de presse
Le roman-fleuve de Margaret Atwood joue avec l'imagination du lecteur jusqu'à ce que le dénouement, merveille de perfidie, vienne jeter le doute sur tout ce qui précède. Seul regret, mais de taille : la traduction piétine parfois les règles de la concordance des temps, et laisse surnager çà et là des anglicismes (ou canadianismes ?) gênants. Amateurs de versions originales, c'est le moment de lire l'anglais dans le texte. --Sophie Bourdais -- Télérama